Lundi 18 avril 2016, lors de la visite de la ministre de l’Education à Marseille, une délégation FSU+ UNL était reçue en préfecture par un membre de son cabinet pour soulever le cas de S…
Une famille chinoise s’insère dans la société française par le travail et la scolarisation de son enfant. Mais l’atelier est clandestin et les parents n’ont pas de papiers… Promis à l’expulsion par le préfet, le père de famille y échappe grâce à la mobilisation des enseignants et des parents de l’école de sa fille. Continuer la lecture de Une école solidaire d’un père d’élève menacé d’expulsion→
Monsieur le Préfet de l’Oise,
Vous avez fait procéder ce mardi 4 août 2015 devant la gare de Beauvais (Oise) à l’arrestation de plusieurs personnes. Parmi celles-ci, deux personnes déboutées du droit d’asile qui ont ensuite été emmenés au centre de rétention de Lille-Lesquin en vue d’une expulsion. Leurs femmes et leurs enfants sont dans l’angoisse.
Quelques dizaines de familles roms vivaient vivaient dans un « village d’insertion » ouvert en 2008 par la ville de Saint Ouen , en Seine Saint Denis. un dispositif visant à leur insertion : scolarisation des enfants, apprentissage du français, recherche d’emploi et d’un logement. En mars 2013, il a été mis fin au projet d’insertion et le terrain a été vendu en vue d’une opération immobilière. Continuer la lecture de A Saint Ouen, fermeture d’un village d’insertion de familles roms→
Deux petits enfants mis en rétention en dépit des décisions de la Cour européenne des droits de l’Homme, puis expulsés avec leur mère mais sans leur père.
La lutte pied à pied d’un groupe de voisins pour garder dans leur quartier une famille qui a choisi la France pour l’avenir de ses enfants mais que l’autorité politico-policière veut mettre à la porte de la France. Reprise d’un billet de blog sur Mediapart.fr.
Un père de famille géorgien est interpellé le 29 mai 2015 et enfermé au Centre de Rétention Administrative de Lyon en vue de son expulsion, étant sous de coup d’une obligation de quitter le territoire français. Le soutien s’organise pour tenter de le faire libérer.
A la fin de l’été 2014, à Perpignan, un grand nombre de familles déboutées du droit d’asile ont dû quitter rapidement les structures d’hébergement dans lesquelles elles logeaient et se sont retrouvées à la rue. Un habitant traduit en justice pour avoir recueilli l’une de ces familles, est finalement relaxé sous la pression de la mobilisation de multiples collectifs.