En octbre 2015, arriven à Marseille une partie des exilés de l’été passés, malgré tout par Vintimille. Désarroi de quelques-un-es qui se retrouvent à héberger de nouveaux arrivants, tous très jeunes mêmes si certains sont majeurs. Tous demandent à « continuer », Marseille n’étant qu’une étape dans leur périple. Et l’on se pose la question : vers quel département les aiguiller en espérant un accueil correct?
B., appelons-le Basile, est mauritanien. Quand il est arrivé en France, en 2010, sans ses parents, à l’âge de 16 ans, il a été recueilli par l’aide sociale à l’enfance. Il s’est bien intégré, témoignent ses éducateurs, et il s’est orienté vers une formation de paysagiste en CAP, puis en lycée agricole pour un brevet professionnel.
Les jeunes migrants sont vite amenés à parfaire l’apprentissage d’un métier par une formation en alternance. Mais en ont-ils le droit? That is the question.
Le délai légal dans lequel une préfecture dit statuer sur une demande de titre de séjour est de quatre mois. Dans la réalité bien des préfectures sont tout à fait hors délai.
Les préfectures exigent de la personne étrangère qui a obtenu un titre des séjour de présenter un passeport valide, un document quasi impossible à obtenir des consulats de nombreux pays. Que faire? Continuer la lecture de Pas de passeport? Pas de carte de séjour…→
C’est près de 200 personnes qui se sont retrouvées, moitié jeunes, moitié adultes, ce samedi 7 février2015 à Versailles pour participer aux assises des lycéens sans-papiers.
Monsieur et Madame B sont arrivés de Tunisie en France respectivement en 2002 et 2009. Après douze ans de séjour, monsieur B. a fini par obtenir un titre de séjour, après que la famille ait échappé à l’expulsion décidée par le préfet des Yvelines. Continuer la lecture de Une famille tunisienne et ses voisins→
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