Un père de famille géorgien est interpellé le 29 mai 2015 et enfermé au Centre de Rétention Administrative de Lyon en vue de son expulsion, étant sous de coup d’une obligation de quitter le territoire français. Le soutien s’organise pour tenter de le faire libérer.
Une jeune étrangère mineure, sans famille en France, atteinte d’une maladie demandant des soins constants, n’a pu obtenir le soutien et le suivi prévus par la loi que grâce à l’action de ses voisins et soutiens.
Depuis l’été 2015, la préfecture de Rennes a inventé une nouvelle pratique pour se débarrasser des demandeurs d’asile ou pour les précariser. En particulier des noir-e-s. Car, oui, nous sommes bien obligé-e-s de le dire ainsi.
A la fin de l’été 2014, à Perpignan, un grand nombre de familles déboutées du droit d’asile ont dû quitter rapidement les structures d’hébergement dans lesquelles elles logeaient et se sont retrouvées à la rue. Un habitant traduit en justice pour avoir recueilli l’une de ces familles, est finalement relaxé sous la pression de la mobilisation de multiples collectifs.
Le RESF, associé à la FCPE et La Cimade en régionRhône-Alpes édite une brochure de 24 pages destinée aux lycéennes et lycéens sans papiers, à leurs camarades, aux équipes pédagogiques, pour permettre aux jeunes sans papiers d’entreprendre les démarches nécessaires à leur régularisation.